APHORISMES :
Lorsque s’ouvrent les yeux de l’âme qui peuvent voir DIEU, se referment à jamais ceux du corps, inadaptés pour soutenir sa présence !
©le Yaya 2008
Aimer avec GRAND “A”, c’est se connecter à l’inconscient !
(c’est ce qui justifie tout le fil à retordre que donnent aux juges, les crimes passionnels)
©le Yaya 2009
Lorsque le brave désormais, cultive le stoïcisme et l’abnégation ;
de la violence et du mépris, captif, le faible est sous domination !
le Yaya © 2010
Seuls les fantômes ne peuvent redouter l’horreur d’une maison hantée.
© le Yaya 2008
Qui, sinon la pensée seule, peut revendiquer la notion de totale liberté…?
© le Yaya 2009
Un peu moins qu’une présence pour ne jamais t’asservir
Mais un peu plus qu’une béquille pour toujours te soutenir,
“Je veux être assez grand pour mériter d’être ton leader,
mais ne l’être jamais trop pour demeurer ton serviteur”
© le Yaya 2010
Nous avons évoqué souvent les raisons du coeur ; ZOOME au coeur de la raison.
©le Yaya 2010
Qu’as-tu fait pour ton peuple lorsqu’il a cessé de croire ?
As-tu fait de sa réviviscence, de ta vie la raison, le devoir ?
Consulte ta conscience mon frère, interroge ta mémoire !
Où étaient ton amour et ta force pour affirmer sa victoire ?
©le Yaya 2009
“Il n’y a pas de petites ou grandes trahisons, il n’y a que des traîtres qui se sous-estiment ou s’ignorent”
© le Yaya 2003
“Sois mon ami derrière moi et mon ennemi devant moi autant que possible”
© le Yaya 1992
“Bouche cousue et attentif, car ignorant, j’écoute l’autre et je m’instruis”
© le Yaya 1999
“Les hommes qui peuvent se comprendre n’ont guère besoin d’interprètes pour se parler dans les yeux”
© le Yaya 2002
Je n’ai de compte à rendre qu’à ma conscience et à DIEU, le tour du peuple viendra”
© le Yaya 2008
“Il est des jours où, victime de son impartialité, chaque pied prisonnier d’un trou, écartelé, le cul à l’air, on se fait doucement entuber”
© le Yaya 2000
La vie est un cycle dans lequel celui dont l’erreur
laissera des traces,
s’incline et s’en amende, afin que par la grandeur,
sa faute, il remplace !
©le Yaya 2000
Lorsqu’obstinément dans la meme direction, ta voie tu cherches désespérément, LOUCHE !
En regardant en toi d’un oeil(introspection), en direction de cet ami là, de l’autre(inquisition) ;
Il t’apparaitra alors clairement, ces adversités paradoxales qui jugulent ta progression !
©le Yaya 2009
Occultons nos différences pour plus de tolérance. Transcendons nos querelles, pour mieux braver nos frontières et nos peurs…
Que rende l’oppresseur, son bien à l’opprimé, pour qu’ensemble nous prônions modération et solidarité fraternelle, dernier atout de l’homme !
le Yaya © 2005
Parce que nous tenons de DIEU une mission,
les méchants, tous seuls, se disqualifieront
Pour permettre à l’amour et à la paix
de s’épanouir dans la beauté et la pureté
©le Yaya 2009
N’aide l’autre qu’en proportion de tes possibilités, jamais au detriment de ta propre santé ;
Et remets humblement à la supreme autorité, ce qui depasse ton entendement.
©le Yaya 2008
“Avant de t’engager au combat, assure-toi, non seulement de tes forces, mais aussi des tiennes au prorata de celles de celui que tu vas avoir en face” !
©le Yaya 2009
Les 4 vertus de la vérité :
Elle est Patiente et Transparente ;
pourtant si tranchante et insolente !
©le Yaya 2008
Connaissez-vous la banale maxime qui dit “l’union fait la force” ?
Je vous conseille vivement de ne pas vous y fier. Toutes les jonctions, ne s’accouplent pas forcément et vont affaiblir davantage qu’elles ne vont renforcer. Gardez-vous en mes amis ! Car il est des personnes qui ne peuvent composer entre elles. C’est radicalement voué à l’échec ! Le comble, c’est qu’on ne le sait qu’après.
©le Yaya 2009
Avant de porter médisances et calomnies sur celui que tu tiens pour l’heure en ennemi, pense au ridicule dont tu te couvriras lorsque le monde découvrira, ces dithyrambes dont tu ne te tarissais quand vous futes un jour amis !
©le Yaya 2009
“PEACE & LOVE” :
JAMAIS ne te le laisse voler, quoique fasse l’autre en face !
De le penser, le clamer et le vivre, JAMAIS ne t’en lasse !
©le Yaya 2010
Il fait aussi beau dehors que dans mon coeur et à l’instar d’une boussole, je nous exhorte à suivre l’étincelle salvatrice du soleil pour nous laisser ensemble transporter vers le chemin de l’AMOUR !
©le yaya 2009
“Il y a péril en la demeure” comme dirait l’autre ; et pourtant… Je ne puis souscrire à la probabilité que ce rêve “des murs de la planète colorés de PEACE & LOVE” se résolve à une sarcastique utopie… “AMOUR & PAIX ” !!! Jamais, je n’y renoncerai !©le Yaya 2010
Regarde comme s’essoufflent tristement les diplomaties de ce monde !!! L’hypocrisie mon ami, jamais ne sera lucrative. Quitte à paraitre cynique et etre contesté, libère comme moi tes rancoeurs et dis toujours à l’autre, face à face, ce que de lui tu penses ; sinon vient manifestement un jour, l’irréversible CLASH ; car d’une colère dormante nait forcément une haine qui fermente…
©le Yaya 2009
LE PARDON
Lorsqu’il m’a été demandé ce je pense du PARDON en tant que notion philosophique…
MA REPONSE :
Vous-est-il arrivé de vous réveiller un matin avec la mort dans l’âme ? Non pas forcément pour avoir commis une bêtise, avoir raté quelque chose, frappé quelqu’un, provoqué un accident, ne pas avoir assuré, ou pour, Dieu sait qu’elle autre folie…
Non non pas ça, plutôt se réveiller avec l’exécrable amertume d’avoir causé UN TORD INTENTIONNEL MAIS INCONSCIENT.
C’est vrai que ça a l’air peu cohérent comme ça. Mais il m’est arrivé d’aller délibérément à la faute du fait d’un enthousiasme fugace qui sur le moment neutralise les mécanismes de la conscience… Vouloir sans le vouloir vraiment… Vous l’avez fait sans trop le savoir ! Comme sous l’effet d’un état second ! Mais le mal est hélas fait… Na tongo ndé, oyé ko sutuka… Mais TROP TARD !(à ne pas confondre avec pécher par omission)
…/…
Et puis il y a ces autres fautes, graves ou moindres, que l’on affecte à la partie obscure de soi. Ces fautes qui sont des violations conscientes et volontaires de l’interdit. Mais elles sont plus fortes que votre probité. Elles sont plus fortes que vous. Vous les faites à votre corps défendant ! Mais vous les faites, hélas !
Cependant, par le sang sacré de Jésus, il nous est heureusement offert LE REPENTIR.
ATTENTION ! Ici, non pas le repentir dans son sens étymologique, MAIS SPIRITUEL. C’est le privilège qu’il nous est offert, quelque soit la taille de la faute, de pouvoir confesser sincèrement son regret accompagné de la ferme promesse de ne JAMAIS récidiver… DUR ! Pourtant condition sine qua non, pour pouvoir bénéficier du pardon de péchés graves.
Enfin, il y a dans le pardon, comme l’ont certainement évoqué d’autres avant moi, la notion du processus. Oui le pardon, c’est tout un processus.
D’une, dans l’hypothèse où l’outrage duquel découlera le pardon apparait insignifiant, le pardon peut ne pas forcément être nommément dit. Il peut être sous-entendu à travers par exemple, un bel acte réparateur…
Par contre, au prorata de la taille de l’outrage, il sera exigé une taille égale du pardon !
Et puis il y a la circonstance, comme la loi du talion, pour un outrage public, le pardon se doit d’être public.
Néanmoins, conscient qu’un pardon public peut, dans certains cas, engendrer des frustrations, on attendra de l’offenseur qu’il fasse montre d’une grande exemplarité tout au long de ce fameux processus. C’est un peu comme un sursis. La moindre défaillance étant susceptible de le rendre caduc.
Tous ces boniments pour dire qu’il est bien plus facile d’offenser que d’obtenir un pardon ferme et définitif…
Quant à moi, j’ai choisi d’aimer mon semblable et de lui pardonner très vite, dès lors qu’il veuille m’offrir un franc pardon. Juste “PARDON”, mais ce pardon dont les yeux témoignent qu’il sort véritablement du coeur.
Pour finir, je vous recommande volontiers les Matthieu 18.8 et 22.39. Méditation !
Connaissez-vous la banale maxime qui dit “l’union fait la force” ?
Je vous conseille vivement de ne pas vous y fier. Toutes les jonctions, ne s’accouplent pas forcément et vont affaiblir davantage qu’elles ne vont renforcer. Gardez-vous en mes amis ! Car il est des personnes qui ne peuvent composer entre elles. C’est radicalement voué à l’échec ! Le comble, c’est qu’on ne le sait qu’après !
Ce qui ne m’empêche pas de pardonner à ces traitres qui s’ignorent !
Et pour ma part, je profite de cette période du renouvellement cyclique translationnel, pour prier tous ceux à qui, d’une façon ou d’une autre, j’ai fait du tord de bien vouloir accepter MON SINCERE PARDON.
30 décembre 2008
Eric(le Yaya)
Lorsqu’il m’a été demandé ce je pense de LA RIGUEUR et de l’ORDRE établi !
Il en faut ai-je répondu ; car, après tout, elle n’exclue en rien l’amour du prochain !
(Dura lex, sed lex ; comme dirait l’autre)
Je vais m’inspirer d’un extrait tiré du tome 2 du droit spécial zairois du professeur Likulia Bolongo :
“La sanction exprime la désapprobation de la société sur la violation de l’interdit”
Comme de SPINOZA :
“Si la loi est injuste, il faut changer la loi”
La vie étant un sacré labyrinthe, nous nous devons, au mieux, fonctionner en tenant compte de l’ensemble des panneaux de signalisation qui, pour notre bien être, nous sont imposés par la société ; Faute de quoi, é ko koma BO NIAMA ! Et vous vous réveillez un matin, égarés, AUX ANTIPODES DE TOUTES VALEURS !
Sinon, pourquoi et pour qui s’écrivent les lois ?
Je viens de recevoir ce jour même, un courrier en recommandé avec accusé de réception, du ministère de l’intérieur de la République Française. Ce courrier dit je cite :
“Vous avez fait l’objet d’un P V pour avoir commis une infraction au code de la route sanctionné d’un retrait de 3 points, en application de l’article L223-3, alinéa 3, du code susvisé, je vous informe que cette infraction a entrainé de plein droit la perte de 3 points de votre permis de conduire”
Ba ndeko na ngayi, na linga na linga té, na déconaki, na za sanctionné, na ko futa.
That’s it !
Il est toutefois important de souligner que ce même ministère de l’intérieur de la République Française m’a accordé une carte de résident grâce à laquelle, jouissant de tous les droits d’un citoyen en République, je suis autorisé à séjourner librement en EUROPE pendant 10 ANS.
Ne nous voilons pas la face. Si la corruption a infesté toute la mécanique étatique obstruant la lubrification des engrenages empêchant dans notre pays, LA VRAIE JUSTICE d’agir et se lever, c’est la consequence de trop de laxisme et de passivité. Et c’est ce genre d’inertie qui engendre le clientélisme et autres fléaux contreproductifs qui privent le Congo-Zaïre de SES FORCES !
Le fait d’être sanctionné par le ministère de l’intérieur de la République Française, empêche-t-elle cette même République de m’aider et m’accepter ?
Comme dirait l’autre, trop souvent nous tendons à revendiquer des droits, MAIS BOUDONS NOS DEVOIRS. Or, un monde dépourvu de rigueur est voué à l’éradication ! WENZE KAKA !
O To tika… hé !
NA MINUTE OYO BA NDEKO, EMPAKA, SOKI EBETI YO, OKO NEGOCIER NA NANI ?
Soki, pour une raison ou une autre, é yindéli yo, oko loba “O pas maintenant”, “O pas comme ça” ???
Si la mort s’invite dans ta maison, la police te convoque, les huissiers viennent saisir, un bandit t’agresse, oko loba “NON, boyé té”… ?
La vie mes amis, est une succession d’incidents et d’accidents. KIDIBA ndé KOLO ! Ne nous mentons pas à nous-mêmes, ne faisons pas semblant de ne pas voir, ne faisons pas croire que tout est TOUJOURS rose ! ça ne rendra service à personne ! ça n’est pas ainsi que nous contribuerons à changer les mentalités !
Nous devons réapprendre à nous faire respecter
Réapprendre à contrattaquer,
Réapprendre à nous défendre,
Réapprendre à nous protéger,
Réapprendre à nous fortifier,
Réapprendre à nous soigner,
Réapprendre à nous aimer… pour reconstruire une nouvelle race de congolais décomplexé qui, torse bombé, le menton fier, la tête haute, résolument confiant, relèvera TOUS LES CHALLENGES DE DEMAIN !
GENERAL LIKULIA ou SPINOZA ? Bo poni nani ?
A défaut d’un tribunal familial, nous nous devons en famille, entre amis, en toute impartialité avec mesure et structure, savoir appliquer nous-mêmes la justice et TRANCHER AVEC LE DROIT !
Avant que définitivement, ne s’affole le compas, lorsque quelqu’un FAUTE, d’une seule voix, nous avons l’obligation d’exiger réparation, en proportion de l’offense(voir LE PARDON). Et à défaut du pardon, ALLER JUSQU’AU BOUT DE LA STIGMATISATION. Là ne sera PAS LE CRIME ! Ne nous trompons pas de BOURREAU !
Je vais citer JLK : “BISO BA KOBO, to lingi mingi ko wéléla réponse sans ko s’attarder na question ;
Ko murmurer mingi autour ya sanction tout en dédramatisant LA FAUTE, ses traumatismes et ses dégâts” !
…/…
Voila, bien à propos, ce que récemment, je répondais à kulutu A. Kisolokele et J.E. dans ce type de débat :
A la maxime de sœur Theresa disant : « à trop juger les gens, on n’en oublie de les aimer », je répondais, je cite ;
DIEU est amour, il ne passe donc pas sa vie à nous pourrir la notre à travers des jugements récurrents, meme lorsque nous suscitons par nos inconsciences infantiles, sa profonde déception. Ce qui ne l’empeche pas de nous juger, mieux, sévir lorsque nous franchissons outrageusement la marge ! C’est la raison d’etre à mon sens, de cet aphorisme qu’il faut éviter d’interpréter à tort et à travers. S’il y a une chose qui me répugne, c’est la calomnie, comme la médisance gratuite ; très voisines de la pure bassesse. Par contre, une critique constructive résultant d’un jugement équitable est toujours la bienvenue. Sinon comment grandirions-nous ?
Il est important de se souvenir que la vie en rose meublée d’hirondelles, de pâquerettes et de senteurs magiques n’existe que dans les contes de fées. La vie est dure ; et la loi, tout aussi dure, existe, et s’applique sévèrement.
Bien entendu, la douceur d’une telle maxime est le plus beau des refuges pour toutes les lopettes qui trimballent d’immenses carences à normaliser.
Mais comment imposer à son prochain, dès lors qu’on le veut juste avec nous, un discours en permanence édulcoré, occultant les fautes répréhensibles et rédhibitoires, volontaires ou pas, sous prétexte qu’il est mauvais de porter un jugement ??? Les flatteurs, les obséquieux, comme leurs victimes, ne peuvent etres amis de la droiture ; tout comme le renard, le corbeau est à mon sens, manifestement coupable… L’homme imparfait que je suis, ne peux progresser sans les remontrances, les remarques et les conseils avisés de son frère. Sans panneaux de signalisation sur la chaussée, les automobilistes passeraient leur temps à se télescoper tous azimuts. La seule manière d’anticiper intelligemment une récidive, est de tuer le mal dans l’oeuf. Mais comment tue-t-on un mal sans l’avoir préalablement diagnostiquer ? Principe élémentaire !!!
Que je craigne de frustrer mon frère en le blamant est une chose, que je craigne de le perdre est inintelligible ; à moins bien entendu, que l’amour fut hypocrite et faux ; car lorsqu’il est cimenté, il est exempt de préjugé, donc immunisé de tout antagonisme !
Celui qui n’accepte pas de l’autre, une intransigeante et impartiale vérité, est un danger pour la société ! Il faut que soient ostensibles nos faiblesses, comme il faut qu’elles puissent etre stigmatisées, sans quoi, nous sommes voués à la perte et à la destruction. (Voir la dialectique de Marx : Tout ascendant a son contraire…)
IMAGE :
“To za na kati ya ésengo, évitons méthodiquement les sujets qui fachent” espèrent certains !!!
Ainsi, muana akosimba na yé moto 2 fois, parce que première fois, na kati ya loyenge, oboyaki na yo ko gangéla yé na ndengé élongobanélaki !!!
ATTENTION BA NDEKO !
Sans faire de pessimisme alarmiste, il n’est jamais mauvais d’envisager des lendemains obscurs et leur éventuel antidote lorsqu’au présent, tu jouis d’un ciel bleu… L’examen de conscience est (davantage pour le commun des mortels lambda) une obligation de tous les instants :
« Tout est beau, tout se passe bien, Rien à signaler, éza vert vert »…
Ozo vivre na monde oyo wapi koooooooo ???
Basta la langue de bois !
Qui bene amat, bene castigat – Si vis pacem, para bellum – Dura lex, sed lex… Ont-elles pour nous un sens ces célèbres citations ?
Festoyons, baisons quand on le peut, mais jugeons quand il le faut, nous croquerons ainsi pour longtemps encore, la vie à pleine dent !
Carpe diem l’épicurien, mais ndé KIDIBA KOLO !
Peace & love
Eric Mulalu Kubanzila ©